Une manière, très efficace, d’améliorer le fonctionnement de l’organisation sans toucher à sa structure.
Les recettes classiques sont bien connues : séminaires, groupes de travail… Elles peuvent permettre de mieux se connaitre et de mieux s’apprécier, ou pas.
Mais le participatif et le collectif ponctuels ne peuvent suffire. On peut aller plus loin, en distinguant collaboratif, pourtant très à la mode, et coopératif. Le premier signifie « travailler ensemble », le second « produire, fabriquer quelque chose ensemble, et c’est bien ça qui nous intéresse.
Mais les freins sont souvent forts, d’autant plus qu’ils se situent dans nos têtes : ce sont nos représentations, celles que avons de nous-même, de notre groupe (métier, structure, strate…), des autres, de leurs groupes… Il faut donc travailler aussi là-dessus, faire de ces représentations, mutuelles, un objet de travail.
Pour les faire évoluer, un peu, ce qu’il faut pour que la coopération devienne possible et réelle. De temps en temps au début, puis plus fréquemment, et se transforme en transversalité.
Non seulement le fonctionnement gagne en fluidité et en efficacité, mais les acteurs le vivent mieux.
Tout ça sans toucher aux structures, aux procédures, au « hard ».
Pourquoi s’en priver ?